17 février - 2 mars
Les îles du Grand Sud comme vous n'oseriez même pas en rêver...
Le canal de Beagle apaisé nous a offert des mouillages protégés dans
des fjords secrets, des promenades à terre dans une ambiance de premiers jours, les
longs glaciers blancs de la cordillere de Darwin qui dégringolent à
vitesse séculaire des hauteurs nuageuses et qui laissent tomber dans
la mer les éclats de leur impressionnant front bleu dans un souffle
glacial et un fracas de tonnerre ...
Un Cap Horn qui a le bon goût de se laisser approcher au plus près
avec un bon vent mais pas de tempête , de nous laisser tâter de la
houle redoutable née de la rencontre des deux océans puis nous mettre
à l'abri dans l'archipel des Wollaston, dédale d'îles rabotées par les
vents, couvertes d'herbe rases et de quelques arbres têtus, bordées de
laminaires brunes flottant sur l'eau noire...
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Des rencontres excitantes, émouvantes avec des dauphins qui viennent
nous faire un bout de chemin en nous faisant admirer leur ventre
blanc, des baleines magnifiques et immenses qui s'approchent tout près
pour inspecter ce curieux animal noir qui croise leur route, des
lions de mer, des otaries, des oiseaux superbes et surtout des
albatros profilés comme des lames...
Des petits ports accrochés obstinement à leur bout de falaise, se
calfeutrant contre les tempêtes sous leurs toits de tôle ondulée, et
se proclamant "el mas austral del mundo"...
Un bateau très marin et sur, mené par un skipper très rassurant et
parfait connaisseur de ces contrées
Un équipage très sympathique et enthousiaste...
De délicieux vins du Chili... dont un petit blanc ideal pour
accompagner les centollas remontées au petit jour...
Mais de cela, vous auriez peut-être osé en rêver?
Le canal de Beagle apaisé nous a offert des mouillages protégés dans
des fjords secrets, des promenades à terre dans une ambiance de premiers jours, les
longs glaciers blancs de la cordillere de Darwin qui dégringolent à
vitesse séculaire des hauteurs nuageuses et qui laissent tomber dans
la mer les éclats de leur impressionnant front bleu dans un souffle
glacial et un fracas de tonnerre ...
Un Cap Horn qui a le bon goût de se laisser approcher au plus près
avec un bon vent mais pas de tempête , de nous laisser tâter de la
houle redoutable née de la rencontre des deux océans puis nous mettre
à l'abri dans l'archipel des Wollaston, dédale d'îles rabotées par les
vents, couvertes d'herbe rases et de quelques arbres têtus, bordées de
laminaires brunes flottant sur l'eau noire...
Des rencontres excitantes, émouvantes avec des dauphins qui viennent
nous faire un bout de chemin en nous faisant admirer leur ventre
blanc, des baleines magnifiques et immenses qui s'approchent tout près
pour inspecter ce curieux animal noir qui croise leur route, des
lions de mer, des otaries, des oiseaux superbes et surtout des
albatros profilés comme des lames...
Des petits ports accrochés obstinement à leur bout de falaise, se
calfeutrant contre les tempêtes sous leurs toits de tôle ondulée, et
se proclamant "el mas austral del mundo"...
Un bateau très marin et sur, mené par un skipper très rassurant et
parfait connaisseur de ces contrées
Un équipage très sympathique et enthousiaste...
De délicieux vins du Chili... dont un petit blanc ideal pour
accompagner les centollas remontées au petit jour...
Mais de cela, vous auriez peut-être osé en rêver?
Mon dieu que c'est beau!
RépondreSupprimerDe Charles Baudelaire (te souviens-tu Pierrette?) :
RépondreSupprimer"Étonnants voyageurs! quelles nobles histoires
Nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers!
Montrez-nous les écrins de vos riches mémoires,
Ces bijoux merveilleux, faits d'astres et d'éthers.
Nous voulons voyager sans vapeur et sans voile!
Faîtes , pour égayer l'ennui de nos prisons
Passer sur nos esprits, tendus comme une toile,
Vos souvenirs avec leurs cadres d'horizons.
Dîtes, qu'avez-vous vu?"