Chaque soir, dans une des multiples îles du canal de Beagle, le voilier trouvait refuge dans une petite crique, à l'abri des vents dominants, comme dans les meilleurs romans de Stevenson. De solides aussières l’amarraient à la terre, complétant l'ancrage traditionnel.
Une steppe rase, des forêts de lengas torturés, un glacier craquant de toute sa masse, ou une falaise abrupte le cernaient puissamment.
Une steppe rase, des forêts de lengas torturés, un glacier craquant de toute sa masse, ou une falaise abrupte le cernaient puissamment.
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