2 Juillet
Neuf fois sur nos dix jours de fréquentation de refuges et petits hôtels de montagne, le plat du jour, autrement dit le choix accepté joyeusement, était « diots pollente » ! Cela pourrait laisser penser qu’une certaine lassitude nous a gagnés ! Mais non ! Premier point, quand on marche, on a faim, cela rend plus compréhensif ! Et deuxièmement, nos restaurateurs montagnards mettent leur point
d’honneur à concocter la recette unique de leur vallée !
Certes les diots restent à base de charcuterie et la pollente à base de maïs ! Mais nous avons pu goûter tous les assaisonnements, les mélanges avec vin, légumes, fromages, les modes de cuisson, gratin, bouillon, ragoût, … Nous sommes maintenant fins connaisseurs de la cuisine montagnarde !
Deux bonnes nouvelles : ce soir c’est « truite du torrent du Mont Cenis » et demain nous quittons la montagne!
Neuf fois sur nos dix jours de fréquentation de refuges et petits hôtels de montagne, le plat du jour, autrement dit le choix accepté joyeusement, était « diots pollente » ! Cela pourrait laisser penser qu’une certaine lassitude nous a gagnés ! Mais non ! Premier point, quand on marche, on a faim, cela rend plus compréhensif ! Et deuxièmement, nos restaurateurs montagnards mettent leur point
d’honneur à concocter la recette unique de leur vallée !
Certes les diots restent à base de charcuterie et la pollente à base de maïs ! Mais nous avons pu goûter tous les assaisonnements, les mélanges avec vin, légumes, fromages, les modes de cuisson, gratin, bouillon, ragoût, … Nous sommes maintenant fins connaisseurs de la cuisine montagnarde !
Deux bonnes nouvelles : ce soir c’est « truite du torrent du Mont Cenis » et demain nous quittons la montagne!
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